Véronique Jannot, icône de la télévision et de la musique française, a su tisser un lien intime avec la nature, se forgeant un cocon dans le Var qui reflète son amour pour la sérénité et le vert. Ce havre de paix, une bergerie rénovée avec passion, n’est pas seulement le reflet de sa quête de tranquillité, mais aussi le symbole de son attachement profond pour le Haut-Var, qu’elle partage avec sa fille adoptive et immortalise sur les réseaux sociaux.
Où vit Véronique Jannot ?
Véronique Jannot vit dans une bergerie rénovée située dans le Haut-Var, qu’elle a transformée en un havre de paix au cœur de la nature.
Sommaire
Un havre de paix dans le Var : la transformation d’une bergerie en refuge
Au cœur du Var, Véronique Jannot a trouvé son petit bout de paradis. Imaginez une ancienne bergerie, nichée entre les collines, métamorphosée en une demeure chaleureuse. Ce n’est pas sorcier, mais presque magique!
C’était d’abord un coup de cœur. « Quand je l’ai vue, j’ai su que c’était elle », confie Véronique. La transformation n’a pas été de tout repos. Entre les murs qui parlent et les poutres qui résistent, chaque coin de la maison raconte une histoire.
La pierre, matériau noble et robuste, est devenue le fil conducteur de cette transformation. Elle a apporté une âme à l’ensemble, créant une atmosphère à la fois rustique et apaisante. « C’est un retour aux sources », dit-elle, les yeux pétillants de joie.
Le jardin, ah, le jardin! Un véritable tableau vivant, où les couleurs changent au rythme des saisons. Véronique y passe des heures, les mains dans la terre, à converser avec les plantes. « Elles m’apaisent », avoue-t-elle. Il paraît que le basilic lui raconte des blagues!
À l’intérieur, chaque pièce a été pensée comme un refuge. Un cocon douillet où les soucis s’envolent dès le seuil franchi. La cheminée dans le salon devient le théâtre de longues discussions ou de lectures solitaires, bercées par le crépitement du bois.
L’humour a aussi sa place. Une vieille chaise dépareillée ici, un tableau insolite là, Véronique aime surprendre. Elle rit : « C’est important de ne pas se prendre au sérieux, même dans sa déco ! »
Cette bergerie transformée, c’est plus qu’une maison, c’est un havre de paix. Un lieu où le temps semble suspendu, où chaque rayon de soleil est une caresse. Véronique conclut : « Ici, je suis chez moi. Plus qu’un endroit où vivre, c’est là où je me sens vivante. »
Entre nature et tranquillité : l’amour de Véronique Jannot pour le Haut-Var
Véronique Jannot a choisi le Haut-Var comme havre de paix. Pourquoi? Simplement, elle y trouve une tranquillité inégalée. Loin du tumulte parisien, elle se ressource au cœur de la nature. C’est un peu comme si elle mettait le monde sur pause.
Là-bas, chaque matin, c’est un régal pour les yeux. Elle s’éveille aux chants des oiseaux, pas aux klaxons. Imaginez le tableau : une tasse de café en main, admirant le lever du soleil sur un panorama de montagnes et de verdure. Pas mal, non?
Ce qui l’enchante dans le Haut-Var, c’est cette sensation de vivre hors du temps. Entre les promenades dans les forêts et les marchés locaux, elle redécouvre les plaisirs simples. « C’est comme être en vacances toute l’année », dit-elle souvent avec un clin d’œil.
Mais ne pensez pas qu’elle y vit en ermite! Véronique apprécie la convivialité des habitants. Des échanges authentiques, loin des paillettes et des faux-semblants. Ici, on parle avec le cœur. Et ça, ça n’a pas de prix.
Elle a même trouvé une nouvelle passion : le jardinage. Ses mains, autrefois habituées aux scripts, caressent maintenant la terre. Tomates, courgettes, herbes aromatiques… Son jardin est un petit éden où elle cultive aussi bien ses légumes que son bien-être.
Le Haut-Var, pour Véronique, c’est un peu sa bulle d’oxygène. Un lieu où elle se reconnecte avec l’essentiel. « Ici, j’apprends chaque jour à vivre pleinement », confie-t-elle. Et on la comprend. Qui ne rêverait pas d’une vie où le bruit de fond est le murmure du vent dans les arbres?
La vie au vert : partager le quotidien avec sa fille adoptive Migmar
Véronique Jannot a choisi un mode de vie qui pourrait faire pâlir d’envie les citadins en quête de zenitude. Sa maison, nichée dans un écrin de verdure, est plus qu’un simple lieu de vie. C’est un havre de paix où elle partage son quotidien avec sa fille adoptive, Migmar. Le choix de vivre loin du tumulte urbain n’est pas anodin. Pour Véronique, c’est une manière de se reconnecter avec l’essentiel, loin des distractions superflues.
L’importance de la nature dans leur vie est indéniable. Elles cultivent leur potager, prennent soin de leurs animaux et se laissent bercer par le chant des oiseaux. Cette connexion avec la terre nourrit leur âme et renforce leur lien. « C’est magique, tu sais », confie Véronique avec un sourire. « Chaque jour est une nouvelle aventure. » Et Migmar d’ajouter, les yeux pétillants : « On joue aux exploratrices dans notre propre jardin ! »
La simplicité volontaire est leur mantra. Elles privilégient le fait-maison et le recyclage, réduisant ainsi leur empreinte écologique. Les soirées sont souvent animées par des jeux de société ou des lectures partagées, loin des écrans qui, selon elles, « mangent le cerveau ». Véronique plaisante souvent en disant qu’elles vivent comme au temps des cavernes, mais avec du wifi quand même. « Juste assez pour rester connectées au monde, sans se laisser engloutir par lui », précise-t-elle.
Leur quotidien est ponctué de petits rituels qui les rapprochent. La préparation des repas est un moment de partage et d’apprentissage. Migmar s’initie à la cuisine française tandis que Véronique découvre les saveurs tibétaines. « C’est un échange culturel permanent », souligne Véronique. Les repas se transforment en voyages gustatifs qui les transportent bien au-delà de leur paradis vert.
L’éducation de Migmar est teintée de cette philosophie de vie. Véronique insiste sur l’importance de l’autonomie, de la responsabilité et du respect de la nature. « Je veux que Migmar grandisse en sachant qu’elle peut faire une différence, qu’elle a le pouvoir de changer le monde à sa manière », explique-t-elle avec conviction. Cette approche éducative, ancrée dans le concret et l’amour de la nature, semble porter ses fruits. Migmar est curieuse, éveillée et profondément empathique.
Leur maison est donc bien plus qu’un toit sous lequel dormir. C’est un laboratoire de vie, un espace où s’expérimentent au quotidien les valeurs de respect, de partage et de simplicité. Véronique et Migmar prouvent que le bonheur réside souvent dans l’harmonie avec la nature et les êtres qui nous entourent. Leur vie au vert est un choix courageux et inspirant, un rappel que, parfois, pour trouver sa place dans le monde, il suffit simplement de se rapprocher de la terre.
Loin de l’agitation parisienne : une existence tournée vers la simplicité et l’harmonie avec la nature
Véronique Jannot a choisi de poser ses valises loin du tumulte de la capitale. Son havre de paix ? Un lieu où le chant des oiseaux remplace les klaxons, où le ciel étoilé brille plus fort que les néons. Elle vit en harmonie avec la nature, dans une simplicité volontaire qui contraste avec le strass et les paillettes de sa vie d’artiste.
Elle cultive son potager, les mains dans la terre, reconnectée aux plaisirs simples. « Rien de tel qu’une tomate cueillie à maturité sur son propre plant », aime-t-elle rappeler, un sourire épanoui aux lèvres. Pour Véronique, la terre est une alliée, une source inépuisable de bonheur et de sérénité.
La maison de Véronique est un cocon éco-responsable, loin de l’architecture ostentatoire de certaines célébrités. Elle a opté pour des matériaux durables et une déco minimaliste. « Chez moi, chaque objet a une histoire, une âme », confie-t-elle. Les meubles de récupération côtoient les œuvres d’art locales, dans une parfaite alchimie.
Les week-ends, elle s’adonne à la randonnée, explorant les sentiers battus et moins battus. « Se perdre pour mieux se retrouver », tel est son mantra. Les montagnes, les forêts, les rivières sont pour elle des lieux de recueillement, d’inspiration. Elle part souvent à l’aube, quand le monde dort encore, pour vivre ces moments de plénitude.
Mais Véronique n’est pas une ermite pour autant. Elle aime recevoir, partager son petit paradis avec amis et famille. Les soirées se passent autour d’un feu de bois, entre rires et confidences. « Ici, le temps s’étire, les connexions se font plus profondes », explique-t-elle. La simplicité de ces moments partagés est le luxe ultime pour elle.
Vivre loin de l’agitation parisienne, pour Véronique Jannot, c’est avant tout un choix de coeur et de valeurs. Elle prouve qu’une autre vie est possible, une vie où la quête de sens prime sur la course à la reconnaissance. Sa retraite bucolique est un vibrant plaidoyer pour un retour à l’essentiel, à ce qui fait battre le cœur et briller les yeux.
Récapitulatif
Aspect | Détails |
---|---|
Lieu de vie | Bergerie rénovée dans le Haut-Var |
Amour pour la nature | Havre de paix au cœur de la nature, jardin vivant, connexion avec la terre |
Transformation de la bergerie | Utilisation de pierre comme matériau principal, atmosphère rustique et apaisante, chaque coin raconte une histoire |
Décoration intérieure | Cocon douillet, cheminée, éléments de décoration humoristiques |
Vie dans le Haut-Var | Tranquillité, loin du tumulte parisien, réveil aux chants des oiseaux, promenades en forêt, convivialité des habitants |
Passion pour le jardinage | Cultive son jardin, échange culturel à travers la cuisine |
Vie avec Migmar (fille adoptive) | Partage quotidien, éducation centrée sur l’autonomie et le respect de la nature, soirées sans écrans |
Philosophie de vie | Simplicité volontaire, réduction de l’empreinte écologique, importance de la famille et des amis |
Contraste avec la vie parisienne | Choix de vie éco-responsable, matériaux durables, décoration minimaliste, randonnées et exploration de la nature |
Questions fréquentes
Où habite Véronique Jannot dans le Var ?
Véronique Jannot réside dans le Golfe de Saint-Tropez, dans le Var.
Quel est le nom du compagnon de Véronique Jannot ?
Le compagnon de Véronique Jannot est Laurent Voulzy.
Où est la ferme de Véronique Jannot ?
La ferme de Véronique Jannot est située en Haute-Loire, en Auvergne-Rhône-Alpes, France.
Qui est le frère de Véronique Jannot ?
Véronique Jannot n’a pas de frère.